Dans un monde sous-terrain partiellement immergé, un collectionneur d’horloges compulsif fait une rencontre fortuite qui va bousculer son quotidien morose.
Un piano aérien et un glockenspiel scintillant, réguliers et entêtants, incarnent l’immuabilité du temps défilant sur les horloges tandis que l’orchestre rends compte des grands espaces sous-terrains.
Dans le froid glacial de la banquise, Lou cherche son chemin. La lumière d'un phare apparait soudain, comme l'invitant à la suivre.
Un quatuor à corde évoquant l'intimité, la solitude et la froideur de l'environnement complété par des sons synthétiques associés aux lumières du phare.
Dans un monde sous-terrain partiellement immergé, un collectionneur d’horloges compulsif fait une rencontre fortuite qui va bousculer son quotidien morose.
Un piano aérien et un glockenspiel scintillant, réguliers et entêtants, incarnent l’immuabilité du temps défilant sur les horloges tandis que l’orchestre rends compte des grands espaces sous-terrains.
Glace à l’eau raconte l’histoire d’un iceberg qui, après s’être pris d’amitié avec un jeune orque, se retrouve en pleine nuit au milieu d’une base industrielle où son ami a disparu. Avec un ton très émouvant, ce film court dénonce à la fois la sur pêche et les conséquences des activités humaines sur le réchauffement climatique.
Attiré par sa dimension expressive et son univers visuel, j’ai choisi de réécrire la musique mais aussi de refaire les bruitages. La musique est basée sur un thème d’abord entendu au piano puis repris par différents instruments de l’orchestre avec des variations joyeuses, oppressantes ou encore mélancoliques.
Hezarfen est un court-métrage d’animation humoristique montrant les mésaventures d’un jeune téméraire souhaitant voler grâce à des ailes fabriquées en bois et en tissu. Ses essais vont déclencher une série de cocasses péripéties à travers tout le village.
L’ambiance légère et orientale de ce film m’inspira des instruments du moyen orient comme le Saz, le Kanun (à cordes pincées), la kemence (à cordes frottées) ou encore le Ney (à vent, proche d’une flute à bec). J’ai continué l’exploration exotique avec des percussions originaires du même lieu, comme le Tombak ou le Darbuka, et jouant un rythme en 7/8.